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Quand Nicolas, parti dĂ©couvrir le monde depuis plus de 19 mois, dĂ©cide de faire une surprise Ă  sa petite sƓur pour son jnUsUiL. â–Œ435272 Vuesyoass - il-y-a 5 ans9 vidĂ©os 0 images 3 collections50%Votes 170Ajouter Ă  la collectionEmbedSignalerCollectionscollec3 Votes 6384 Vues 1 VidĂ©osfg19 Votes 19446 Vues 7 VidĂ©osincest30 Votes 122564 Vues 13 VidĂ©osCommentaires . 7 â–Œ VidĂ©os similaires de yoassBaise en famille avec maman J'ai toujours rĂȘver d'avoir un frĂšre et de baiser avec. 1584695 Vues 468 Votes 27 Commentaires1900FrĂšre et soeur baisent avec passion C'est bon de gouter la chatte de ta soeur de temps en...1154284 Vues 541 Votes 37 Commentaires2200RĂ©centesPopulaireLes plus vuesLes plus votĂ©esLes plus commentĂ©esMulti viewVidĂ©os similairesLa soeur ne rĂ©siste pas Ă  son frĂšre et font l'amour263 Votes 971461 Vues 11 Commentaires0800FrĂšre baise sa soeur dans le bain de mousse11 Votes 76397 Vues 1 Commentaires2226envi entre frere et soeur15 Votes 33051 Vues 0 Commentaires2037se faire plaisire entre frere et soeur23 Votes 43089 Vues 0 Commentaires5909mon frere me surprie dans mon someil10 Votes 57021 Vues 0 Commentaires2610baisĂ©e par son frĂšre96 Votes 95289 Vues 7 Commentaires2335En famille, le dimanche, on baise136 Votes 246692 Vues 15 Commentaires0900s introduit discretement entre mes jambe11 Votes 27449 Vues 0 Commentaires2700Le frĂšre met enceinte sa soeur fiction163 Votes 311752 Vues 9 Commentaires15001080pTop VidĂ©os similairesJade baker et Gabbie carter font l’amour sensuellement a coups de langue0 Votes 1454 Vues 0 Commentaires33331080p4 mec se font plaisir avec une chrĂ©tienne qui aime le gangbang1 Votes 2430 Vues 0 Commentaires5355Naomi Bennet et Licky Lex font un massage pipi0 Votes 2077 Vues 0 Commentaires28231080padriana et lacy se font plaisir sur un lit avec des toys0 Votes 793 Vues 0 Commentaires34401080p Mis Ă  jour le 10 aoĂ»t 2022 Ă  10h00 © fotografixx/iStock Chaque semaine de l'Ă©tĂ©, un Ă©crivain nous confie un flirt estival qui l'a marquĂ©. Cette fois, c'est une histoire d'amour et d'amitiĂ©. Par ValĂ©rie Perrin 1987, Carnac, Morbihan, Bretagne Sud. Ce sont les derniĂšres vacances passĂ©es tous les cinq. Maman, papa, mon frĂšre, le chien et moi. AprĂšs, il y a eu la vie, la mort du chien, les pas le temps », l'annĂ©e prochaine, les unions, dĂ©sunions, naissances. J'ai 20 ans, mon frĂšre 14. À 14 ans, mon frĂšre est ce qu'on appelle un beau mec. Tout le monde s'accorde Ă  dire qu'il ressemble Ă  George Michael. Il fait plus vieux que son Ăąge, traits fins, yeux profonds, peau mate, cheveux noirs, belle bouche, un corps long et musclĂ©. Aujourd'hui encore, on se retourne sur lui, il a la beautĂ© de ceux qui sont regardĂ©s. DĂ©but juillet, je prends le TGV, mes premiers congĂ©s payĂ©s en poche, pour rejoindre en Bourgogne mes parents et mon frĂšre, pour qui c'est aussi l'heure de la mi-temps estivale. Il vient d'intĂ©grer le centre de formation de foot de Sochaux. Direction, la Bretagne. Ce trajet, Bourgogne-Bretagne, on le fait depuis des annĂ©es, partant Ă  19 heures, arrivant vers 4 heures du matin. Mes parents se garent au bord de l'ocĂ©an, patientant jusqu'au matin. Petit dĂ©jeuner sur une terrasse en attendant que l'agence du comitĂ© d'entreprise ouvre, Ă  10 heures. Le temps d'enfiler un maillot de bain et nous nous retrouvons contre le mur de pierres qui longe la plage de Saint-Colomban. C'est sur le mĂȘme mur que chaque annĂ©e nous posons nos serviettes, les pieds enfoncĂ©s dans le sable, glaciĂšre Ă  portĂ©e de main, pĂȘches, Vichy St-Yorre, sandwichs, Sopalin. Le chien sous un parasol, de l'eau dans une gamelle. Coquillages, amour et crustacĂ©sLes premiers instants, quand on se reconnecte Ă  la beautĂ©, on est un peu soufflĂ©. On rĂ©habitue nos rĂ©tines Ă  l'eau turquoise et au sable blanc. Cette Bretagne-lĂ  ressemble au Sud, il y a des pins parasols. MĂȘme les odeurs copient celles du Midi. Seules les cigales manquent Ă  l'appel. Alors, pour les remplacer, il y a le chant des marĂ©es. DerriĂšre notre plage, un cafĂ© qui fait l'angle oĂč nous avons un rituel, mon frĂšre et moi y jouons au flipper pieds nus en lĂ©chant un Esquimau. On tient le bĂątonnet en bois de celui qui fait une partie. Mais, cette annĂ©e, le bar et l'ocĂ©an sont vides. Mon frĂšre n'est plus avec moi. Des mots d'absence de lui partout. Sa meilleure amie est Ă  quelques plages de nous. Alors il a dĂ©laissĂ© notre terrain de jeu, notre carrĂ© de sable un peu dĂ©sert au bout du bout de Carnac. Il faut beaucoup de dĂ©rogations du quotidien pour dĂ©buter une histoire. En 1987, plusieurs s'alternent. D'habitude, la meilleure amie de mon frĂšre va Ă  Saint-Tropez, mais, cet Ă©tĂ©-lĂ , une toquade parentale de dĂ©couvrir la Bretagne. Et Ă  cĂŽtĂ© de sa serviette, il y a Sophie. C'est la premiĂšre fois que son pĂšre et sa mĂšre prennent des frĂšre s'empĂȘche de penser qu'aprĂšs l'Ă©tĂ© on change de saison, de vĂȘtements, de passions. Sophie est blonde aux yeux bleus. Un titre de roman. Toute en dĂ©licatesse, une poupĂ©e de porcelaine, entre Vanessa Paradis et Grace Kelly. Elle aura 18 ans Ă  la fin du mois, le 28 juillet, le jour d'anniversaire de mariage de nos parents. Parfois, des dates ont le mĂȘme rendez-vous. DĂšs qu'ils osent se parler, mon frĂšre se vieillit, lui fait croire qu'il a 17 ans. Comme il ne suit pas le mĂȘme cursus scolaire que les autres, c'est possible. Et puis, sur une plage, on ne parle ni Ă©cole ni avenir, on joue Ă  la balle. À partir des premiers mots Ă©changĂ©s avec Sophie, mon frĂšre oublie la meilleure amie et tout le reste. Il passe ses journĂ©es avec elle, se traĂźne plus que le chien lorsque nous marchons sur la cĂŽte sauvage le soir en famille. La premiĂšre fois qu'ils sortent ensemble, ils partent nager un peu loin, un peu cachĂ©s. La Bretagne c'est gĂ©nial pour s'embrasser, il y a des rochers partout. Elle, elle a froid, et puis elle n'aime pas ne pas voir le fond. Toujours peur qu'une bestiole lui grignote le bout des pieds. Mais elle nage en silence. Veut rester digne, garder son port de reine. Elle suit les mouvements de mon frĂšre qui alterne crawl, brasse coulĂ©e et yeux de merlan frit. Lui qui enchaĂźne les flirts, prĂ©fĂšre la musique aux filles, est bouleversĂ©. La princesse lui fait un effet bƓuf. C'est lui qui fait le premier pas, la premiĂšre brasse, il pose ses lĂšvres sur les siennes. Quand ils ressortent de l'eau, ils se tiennent par la il n'a que 14 ans, mon frĂšre a la permission de minuit. Sophie pense sans doute que mes parents sont sĂ©vĂšres avec leur fils bientĂŽt majeur. Souvent, Ă  minuit moins le quart, j'emprunte la voiture, les rĂ©cupĂšre dans le centre-ville, la dĂ©pose chez elle et le ramĂšne Ă  la maison. Je suis la mauvaise fĂ©e de service. Celle qui rompt la magie. Dans la voiture, une cassette qui nous accorde, oĂč l'on se rejoint mon frĂšre et moi qui n'avons pas les mĂȘmes goĂ»ts musicaux, With or Without You », de U2, le volume poussĂ© Ă  hasard et belle amitiĂ©Les jours s'enchaĂźnent. Les heures ne passent pas moins vite parce qu'elles sont en vacances. Mon frĂšre s'empĂȘche de penser qu'aprĂšs l'Ă©tĂ© on change de saison, de vĂȘtements, de passions. Il repartira Ă  Sochaux, elle, Ă  Honfleur. À l'opposĂ©. Et c'est leur dernier soir. Il vient de lui dire au revoir quand tous deux pressentent que c'est un adieu. Elle a pleurĂ© dans ses bras, lui pas. Il monte dans ma voiture comme absent de lui-mĂȘme. Nous roulons quelques mĂštres et il Ă©clate en sanglots. Je garde le silence. Ou alors, le rassure. Je ne me souviens plus. Ai-je dit des mots du genre Vous-vous-reverrez-c'est-sĂ»r-tout-est-pos-sible » ? Et les nouvelles s'espacent. Finissent par disparaĂźtre. Mon frĂšre rencontre une autre Colombine et Sophie un nouveau Pierrot. Et l'histoire pourrait s'arrĂȘter lĂ . Mais parfois elles prennent une drĂŽle de tournure, les histoires. Le 31 dĂ©cembre 1987, je croise Sophie par hasard Ă  Paris. Elle est perdue, cherche son chemin. Revoir ses yeux, c'est retrouver l'Ă©tĂ©. En liesse, nous dĂ©cidons de passer le nouvel an ensemble. Au menu, pĂ©tillant, boĂźtes de conserve et galettes avec deux couronnes. Plus tard, nous marchons dans les rues, dansons avec les passants. Avec les mois, puis les annĂ©es, elle s'ancre en nous. Elle devient mon amie, ma presque sƓur. Dans mes albums de famille, on la voit partout et Ă  tous les Ăąges. Elle est sur les photos de naissance de mes enfants, anniversaires, voyages, soirĂ©es. Je suis la marraine de sa fille. Sophie et mon frĂšre ne se sont jamais mariĂ©s ni ensemble, ni avec quelqu'un d'autre. Ils ont fait leur vie comme on dit. Ils se sont retrouvĂ©s et se retrouvent encore chez moi quand on cĂ©lĂšbre un Ă©vĂ©nement. Les lendemains de fĂȘte, il m'arrive de les dĂ©couvrir derriĂšre une porte, dormant dans le mĂȘme lit. Ils se rejoignent dans la nuit comme deux adolescents qui retournent faire un tour du cĂŽtĂ© des Perrin est l'auteure de Changer l'eau des fleurs » Ă©d. Albin Michel, publiĂ© dans dix pays, dont les Ètats-Unis, en 2020. VoilĂ , bonsoir Ă  tous. Je viens exposer un sujet pas vraiment original ici-bas l’inceste entre frĂšre et soeur. Ma propre expĂ©rience. J’ai aujourd’hui 28 ans et ma petite soeur 5 ans de moins. Lorsque nous Ă©tions plus jeunes et que nous vivions encore sous le mĂȘme toit, il y a de ça environ 5 ans, il fut une pĂ©riode oĂč nos rapports se sont lĂ©gĂšrement troublĂ©s. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je n’ai pas de problĂšme avec la gentes fĂ©minine, bien au contraire... Mes parents nous ont parfaitement Ă©duquĂ©, de façon Ă©quilibrĂ©e, dans le respectdes autres. Ma soeur a toujours avouĂ© qu’elle me trouvait beau garçon, ses amies de mĂȘme, n’y voyez aucune prĂ©tention de ma part un peu quand mĂȘme..., je suis parfaitement conscient du phĂ©nomĂšne du "grand frĂšre", tous les grands frĂšres ou presque connaissent la fascination des petites soeurs et de leurs copines Ă  leur voilĂ , dans une pĂ©riode oĂč ma soeur Ă©tait sĂ»rement dĂ©sireuse de tester son pouvoir d’attraction, afin de se rassurer, je ne l’ai soudainement plus vu uniquement comme ma petite soeur mais comme une jeune femme Ă  part entiĂšre. C’est une jolie fille, tout le monde le voit... sauf elle, complexĂ©e depuis toujours sur je ne sais trop quoi, elle avait des petits amis mais m’a souvent confiĂ©qu’elle ne se sentait pas trop bien dans sa alors qu’elle commença Ă  s’exhiber de façon plus ou moins explicite devant moi, petite culotte, micro short, position suggestive etc... Je n’aimais pas l’idĂ©e de pouvoir fantasmer sur elle, et pourtant... J’avais la nette impression que mes regards ne la dĂ©rangeaient pas, mais la confortaient sur son physique, sur sa fĂ©minitĂ© sans forcĂ©ment avoir des idĂ©es plus poussĂ©es. Nous avons toujours entretenu de bonnes relations, trĂšs proches sans ĂȘtre fusionnes, chacun sa vie et chacun son espace de libertĂ©. Cependant et comme tous les frĂšres et soeurs entretenant de bons rapports, il nous arrivait frĂ©quemment de regarder la tĂ©lĂ© ensemble, dans ma chambre ou dans la soir, lorsque nous Ă©tions blottis dans mon lit, bien au chaud, elle mis sa jambe Ă  hauteur de mon bas ventre, je n’ai pu m’empĂȘcher d’avoir une Ă©rection. Elle l’a forcĂ©ment senti, pourtant, elle mis du temps Ă  la retirer. J’aurais peut ĂȘtre dĂ» mettre directement la situation au clair mais je dois avouer que j’en avais pas trop envie, je ne savais pas trop pourquoi... Je ne voyais pas forcĂ©ment le malnon plus, aprĂšs tout, il ne s’était rien passĂ© de bien grave, de plus, je n’étais pas encore dans la certitude des faits mais plutĂŽt dans la spĂ©culation. Ce n’était qu’un petit accident...Le problĂšme est que depuis ce fameux soir, j’ai commencĂ© Ă  ĂȘtre lentement mais sĂ»rement obsĂ©dĂ© par elle. J’avais de mon cĂŽtĂ© des relations sexuelles rĂ©guliĂšres avec des filles, jamais rien de bien sĂ©rieux lĂ  est mon soucis.Je suis quelqu’un qui fonctionne Ă©normĂ©ment sur le modecĂ©rĂ©bral, il faut systĂ©matiquement que j’intellectualise les choses, les Ă©motions, j’en ressens le besoin, c’est sans doute aussi pour ça que ça ne dure jamais bien longtemps avec les filles. Je ne supporte pas la routine, je me remets trĂšs souvent en question, les autres n’y Ă©chappent pas non plus. Je donne autant de dĂ©tails, au risque de paraĂźtre assommant et narcissique afin que vous compreniez bien la situation, ma personnalitĂ© et celle de ma petite soeurJe ne pourrais vous dire si c’était dĂ» Ă  l’interdit, au tabou ultime mais ma soeur m’attirait de plus en plus, aussi bien que je me mis Ă  me masturber en pensant Ă  elle, c’est difficile Ă  croire mais ces plaisirs solitaires m’en procuraient plus que les rapports sexuels que j’entretenais avec des copines. Cette situation me terrifiait mais paradoxalement, m’excitait bien plus encore. Jusque lĂ , ma soeur et moi mĂȘme connaissions l’amour fraternel qui nous unissait mais nous n’étions pas pour autant hyper dĂ©monstratif, dans les gestes et les paroles. Mais je ressentais de plus en plus le besoin de lui faire des gestes affectueux, des petits bisous sur la joue etc... Ça ne la dĂ©rangeait est suivie une pĂ©riode durant laquelle mes pulsions sont devenues plus compliquĂ©es Ă  gĂ©rer. C’était pendant la canicule de 2003, chaleur insoutenable, nous avions seulement un ventilateur, prĂ©cisĂ©ment dans ma chambre, chambre oĂč j’avais Ă©galement un lit 2 places. Vous devinez la suite... Ma soeur vint dormir toutes les nuits Ă  mes cĂŽtĂ©s, dans des tenues pour le moins supplice... Nous ne mettions rien sur nous, ni draps ni couvertures, cela semble logique. Je me mis Ă  observer son joli corps, sans le toucher, dans un premier temps... Au fil des nuits, la tentation s’affirmait de plus en plus, l’excitation du danger et de l’interdit prenaient le pas sur la moralitĂ©. Encore plus quand elle collait ses fesses Ă  moitiĂ© dĂ©nudĂ©es contre moi, volontairement ou involontairement, honnĂȘtement, je n’en savais pas grand chose, toujours est-il que je prĂ©fĂ©rais hypothĂ©quer sur la premiĂšre solution, pour entretenir la libido...La dualitĂ©, ça me connais, je vis avec depuis toujours, je suis GĂ©meaux rapport ou pas, pas forcĂ©ment maisça n’aide pas, c’est sĂ»r, le diablotin et le petit ange sont mes compagnons d’infortune depuis bien longtemps,le chaud et le froid, l’utopie et la luciditĂ©, le danger et le confort etc..., tout ce petit monde est en moi, remise perpĂ©tuelle en question, constamment en proie aux doutes, mais Ă©galement aux certitudes, borderline devant l’éternel. Mon caractĂšre, mon cerveau, je le hais comme je l’adore, il m’a permis de ne pas tomber dans les prĂ©jugĂ©s de base, d’essayer de comprendre le monde, les gensmoi y compris comme vous pouvez le constater avec plus ou moins de rĂ©ussite, avec plus ou moins de dĂ©ceptions. En mĂȘme temps, celui-ci m’a Ă©galement causĂ© tellement de tracas, de prises de tĂȘte diverses et variĂ©es, parfois utiles, la plupart du temps inutiles. J’ai perdu beaucoup de gens Ă  cause de ce satanĂ© esprit en quĂȘte de rĂ©ponses. Le bien, le mal, cela existe-t’il ? La moralitĂ© n’est qu’une invention pour rĂ©gir notre sociĂ©tĂ©, contrĂŽler nos pulsions instinctives, pour qu’on ne parte pas trop en vrille, elle a ses vertus, sans aucun doute, sinon tout le monde tuerait et violerait tout le monde... mais j’aime me sentir libre, je dĂ©sirais ma soeur, je n’y pouvais rien, c’était en moi, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que cela ne se produise jamais. A croire que mes instincts primaires Ă©taient bien plus forts que je le pensais. J’étais confus, je n’arrivais pas Ă  mettre un nom sur ce phĂ©nomĂšne amour ? attirance sexuelle ? soif d’impossibilitĂ© ? faim cĂ©rĂ©brale ? Je luttais durant cet Ă©tĂ© plus torride que d’accoutumer, au figurĂ© comme au propre, Ă  ne pas cĂ©der au fantasme ultime. J’aime ma soeur, je ne voulais pas lui causer de prĂ©judice mental ou physique. Non, c’était liĂ© au plaisir, je me disais que ces idĂ©es tortueuses me procuraient bien une jouissance intense, pourquoi pas Ă  elle ? Un soir, les choses ont vĂ©ritablement dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, pendant son sommeil. Oui, de la caresser sans son consentement, c’est dĂ©gueulasse, honteux... je le sais, mais j’en voulais plus, je voulais la toucher, sentir ses courbes. J’étais pas fier, j’étais tel un volcan en Ă©ruption. Jamais ressenti ça, rien qu’à l’idĂ©e de la toucher, alors que j’avais eu la chance de concrĂ©tiser quelques uns de mes fantasmes les plus fous. Seulement, toujours en phase avec ma contradiction, je ne souhaitais pas faire leschoses dans la plus grande discrĂ©tion, comme pour me faire prendre sur le fait. Connaissant ma soeur et son ouverture, je supposais que aussi impensable soit le geste, elle aurait cherchĂ© au minimum Ă  m’écouter, peut ĂȘtre pas Ă  accepter ni Ă  comprendre mais au moins elle m’aurait entendu. Je rĂ©pĂšte pas pour me dĂ©charger mais c’est important Ă©galement que ma soeur avait un comportement assez sensuel Ă  mon Ă©gard, je l’ai dĂ©jĂ  prĂ©cisĂ©, maintenant, je ne savais pas concrĂštement si c’était de la provocation, un test de sĂ©duction ou plus. Cette nuit oui on y arrive, ouf, je me suis mis Ă  la toucher de façon dĂ©licate mais sans grande retenue, ses fesses surtout. Elle avait un short trĂšs trĂšs court et trĂšs trĂšs Ă©vasĂ©, je m’en souviens, je pouvais voir son cul, bien rebondi et ferme pardon pour les prĂ©cisions, je tiens Ă  vous faire ressentir mon Ă©tat d’excitation de l’époque, je ne veux pas tricher ou romancer, je veux surtout que mon tĂ©moignage serve Ă  quelque chose. J’arrivais sans mal Ă  voir son string. Je glissais mes doigts Ă  l’intĂ©rieur du shorty, en tremblotant, c’était vraiment jouissif, j’avais peur, j’avais honte mais je ne pouvais plus m’arrĂȘter. Je lui empoignais les fesses de façon assez intense, comme pour la rĂ©veiller mais elle ne bougeait pas, je les malaxais tout en me touchant puis plus tard dans la nuit, je me mis Ă  lui caresser le vagin et l’intĂ©rieur des cuisses, l’excitation Ă©tait telle que je n’ai pas tenu bien longtemps et je me suis mis Ă  jouir comme rarement. Peu de temps aprĂšs, toujours dans la nuit, un sentiment de culpabilitĂ© avait remplacĂ© le dĂ©sir et le plaisir. "Qu’ai-je donc fait ? Ă  ma soeur, dans son sommeil, je suis ignoble, je suis un dĂ©traquĂ©...".MalgrĂ© ce sentiment de culpabilitĂ©, je recommençais rĂ©guliĂšrement ce petit rite sexuel et Ă©goĂŻste. Case limitait Ă  des attouchements, jamais de pĂ©nĂ©tration. Quant Ă  ma soeur, aucune rĂ©action. L’étĂ© indien passĂ©, elle retourna Ă©migrer dans sa chambre. ImmĂ©diatement, les remords commencent Ă  devenir envahissants mais je me rĂ©solus Ă  taire cet Ă©pisode, dans la crainte de lui faire plus de mal encore, de la dĂ©cevoir, de la perdre tout simplement. J’étais certain de pouvoir rĂ©primer ces pulsions. Je repris donc ma petite vie d’aventurier, avec des hauts et des bas mais lorsque j’avais un rapport avec une fille, je ne pouvais m’empĂȘcher de penser Ă  elle, pas l’idĂ©al plus bouleversant vint par la suite, quelques temps plus tard, ma soeur pris quelques fois l’initiative de dormir de nouveau avec moi, elle prĂ©textait toujours quelque chose de diffĂ©rent, plus ou moins crĂ©dible Ă  mes yeux. LĂ , elle remis inexorablement une couche supplĂ©mentaire d’idĂ©es farfelues dans ma ne savais pas quoi faire, voulais-t’elle franchir l’infranchissable ? que je continue ces cĂąlins incestueux ? Ă©tait-ce tout simplement le fruit de mon imagination ĂŽ combien dĂ©bordante ? La tentation allait choisir pour moi de toute façon. Je me mis Ă  recommencer Ă  me masturber en lui caressant ses parties intimes, toujours le mĂȘme rituel, dĂ©sir-plaisir-remords. Toujours les mĂȘmes doutes, les mĂȘmes questions sur moi, sur elle... C’était l’occasion de lui parler, d’éclaircir les choses mais je ne l’ai pas fait, par lĂąchetĂ©, prĂ©fĂ©rant me complaire dans cette situation aussi embarrassante que jouissive, surtout mentalement et c’est Ă  la limite ça qui me faisait le plus peur. Ce n’était pas que du sexe pour du sexe, j’avais passĂ© le stade de l’apprentissage, non, c’était pour repousser leslimites de l’interdit, c’est ça qui me faisait bander. Mais elle ? Sa santĂ© mentale n’était donc pas en danger ? Les rĂ©percussions sur son futur ? Tout ça Ă©tait dingue, comment un simple fantasme peut nous pourrir la vie de cette façon ?Dernier acte de mon rĂ©cit et oui, c’est long je sais. Aujourd’hui, j’ai quittĂ© le foyer familial, j’ai mon propre reste trĂšs proche de ma famille et ma soeur me rend rĂ©guliĂšrement visite. Je vis toujours des petites aventures Ă  droite et Ă  gauche, je n’arrive pas Ă  me fixer. Je fais une dĂ©pression depuis maintenant pas mal de temps, l’histoire avec ma soeur n’y est pas liĂ©e Ă  100%, non, c’est un tout, je me sens diffĂ©rent. J’ai plus en plus de mal Ă  me sociabilitĂ©, je suis un grand rĂȘveur, un hypersensible, depuis toujours. Je me suis construit une carapace tellement Ă©paisse que les gens pensent tout le contraire de ma personne. Je suis physiquement loin d’ĂȘtre Ă  plaindre, je suis fier donc je montre rarement mes Ă©motions, ceci confond les gens dans mon entourage sur l’idĂ©e presque je m’en foutisme et Ă©picurienne qu’ils se se font de moi. Je me sens seul tout en Ă©tant entourĂ©. Les gens aiment une facette de moi, celle qui est enjouĂ©e mais ils ne connaissent pas l’autre, beaucoup plus torturĂ©e. Ma famille la connaĂźt forcĂ©ment dĂ©jĂ  n’y a pas si longtemps, ma soeur m’a rendu visite. On s’est fait un film, comme Ă  l’époque. L’un Ă  cĂŽtĂ© de l’autre, elle Ă©tait vĂȘtue d’une jupe, ses jambes nues m’excitaient Ă  un point... Petit Ă  petit, je me mis Ă  les lui caresser, elle ne me repoussa pas, j’étais Ă  la fois triste et heureux, déçu et satisfait, Ă©trange sentiment... Je remontais de plus en plus haut, avec de plus en plus de vigueur, tout en continuant Ă  feinter de regarder l’écran de tĂ©lĂ©, elle de mĂȘme. Je sentais sa peau de plus en plus chaude, elle Ă©tait gĂȘnĂ©e, c’est sĂ»r mais elle prenait du plaisir, c’était encore plus concret. J’avais cependant du mal Ă  aller plusloin, une barriĂšre psychologique m’empĂȘchait d’aller lui toucher son intimitĂ©. Je faisais des petites pauses, m’efforçant de reprendre le peu d’esprit qui me restait mais je n’y parvenais pas. J’avais beau penser aux liens du sang, aux parents qui nous aimaient, Ă  elle quand elle Ă©tait petite, rien n’y faisait...Au bout d’un moment, j’ai finalement Ă©tĂ© plus loin, j’ai glissĂ© ma main sous sa jupe et je lui ai caressĂ© l’entre jambe... Mais lĂ , ce fut le blocage, pour elle comme pour moi, on s’est regardĂ© dans les yeux, nous Ă©tions rouge Ă©carlate, mĂ©lange de honte et de cru comprendre Ă  ce moment lĂ  qu’elle avait toujours su, pour les attouchements, ça ne m’excuse en rien, bien entendu...Je crois qu’on a poussĂ© nos limites ce soir lĂ , on en a jamais reparlĂ© mais j’y pense souvent, je crois que la situation n’est toujours pas clarifiĂ©e. Je crois avoir la tendresse d’un frĂšre pour elle, c’est ça qui est dur, je l’aimecomme un frĂšre, je souhaite son bonheur plus que tout, je veux la protĂ©ger. TĂŽt ou tard, il faudra que je lui parle de tout ça, peut ĂȘtre en montrant mon rĂ©cit, ça sera plus simple... je crois...J’essaye de poursuivre ma vie, tant bien que mal. Je ne vous raconte pas tout ça pour me dĂ©douaner, je ne cherche pas spĂ©cialement de rĂ©confort. Je ne suis pas une victime, je suis juste perdu, j’en ai conscience. Tout le monde me voit comme celui que je ne suis pas. J’ai un profond mal ĂȘtre, mes parents n’y sont pour rien,je crois que j’ai Ă©tĂ© toujours comme ça. Un Ă©ternel insatisfait, qui cherche quelque chose qui n’existe pas. Ma soeur, je l’idĂ©alise, je me sens en totale confiance avec elle, elle me connais. Au dĂ©but, je pensais que c’était juste une sorte de fantasme ultime, de faire du sexe avec sa jolie soeur mais maintenant, je n’en suis plus sĂ»r, tout se bouscule dans ma tĂȘte... Une chose est certaine, je ne lui ferai jamais de mal, je me mettrai jamais en travers de sa route. Faut que je lui parle...Vous voyez, je fais une sorte de psychanalyse lĂ , en vous racontant mon histoire. J’aurais pu mettre mon pavĂ© dans le topic dĂ©pression ou je ne sais quoi encore mais j’ai choisi de le mettre lĂ . Pourquoi ? Parce que mon histoire reste un tabou et que ça peut sembler choquant pour certaines de me juger trop hĂątivement, j’ai essayĂ© de rendre mon rĂ©cit complet, en me montrant comme je suis, avec mes dĂ©fauts et mes qualitĂ©s, pour que vous compreniez bien la situation et le personnage. Je ne crois pas ĂȘtre un monstre, ma soeur encore moins. Je ne pense pas non plus ĂȘtre un fou dangereux, juste un mec trop perchĂ© dans les Ă©toiles, qui retombe souvent trop violemment sur terre. Je pense que beaucoup de gens peuvent se reconnaĂźtre dans mon histoire, du moins dans certaines parties. J’ai lu quasiment toutes les histoires d’inceste sur ce forum. La plupart d’entre elles s’apparentent plus Ă  des fantasmes de gamins en mal de sensations ou Ă  des rĂ©cits de personnes cherchant une sorte d’approbation afin de passer Ă  l’acte plus sereinement. Je dis ça, je dis rien, je me trompe peut ĂȘtre mais bon...Je voulais mettre Ă©galement en avant que ce genre de situation est nettement plus compliquĂ© qu’il n’y paraĂźt. Il ne s’agit pas forcĂ©ment de bien ou de mal, de morale ou de perversion, il s’agit avant tout d’une lutte entre plusieurs sentiments et pulsions propres Ă  l’ĂȘtre humain. Les frontiĂšres ne sont pas toujours bien Ă©paisses entre l’amour fraternel et l’amour tout court, entre pulsions sexuelles et tendresse, entre fantasme et rĂ©alitĂ©, entre dĂ©sir cĂ©rĂ©bral et dĂ©sir physique. Pour les personnes concernĂ©es par l’inceste ou son fantasme, prenez bien en compte tous les facteurs, tousles traumatismes Ă©ventuels, les complications familiales et personnelles... Ce que je veux dire, c’est que mĂȘme en cas de consentement clair et net, de plaisir mutuel, nous ne sommes jamais sĂ»rs de ne pas avoir de troubles postromantiques. C’est Ă  prendre au sĂ©rieux. Je ne suis pas forcĂ©ment un bon exemple, je suis juste un exemple. Le fait de toucher sa soeur ou frĂšre pendant son sommeil est condamnable et non pardonnable, il n’y avait pas de consentement clair de sa part, ce n’est en aucun cas une chose Ă  faire. Il faudra qu’on en parle, il faut que je sois sĂ»r qu’elle Ă©tait au courant car malgrĂ© ce qui s’est passĂ© par la suite, je n’en suis toujours pas convaincu Ă  100% et c’est le truc le plus difficile Ă  assumer. De mon cĂŽtĂ©, je me soigne, pour ça et pour le reste, le fait d’en parler ici me fait un grand bien, la thĂ©rapie dĂ©bute...VoilĂ , ceux qui auront rĂ©ussi Ă  tout lire, bah... bravo et restez peace ! 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